Depuis le coup d'État de 2020 au Mali, la période de transition n'a cessé de s'allonger, au grand dam des démocrates du pays. Alors que les autorités militaires annoncent un énième report de l'élection présidentielle pour des raisons techniques, les inquiétudes grandissent quant à un possible retour à un régime autoritaire.
L'absence de calendrier clair pour l'organisation d'élections et les manœuvres visant à consolider le pouvoir des militaires soulèvent de nombreuses interrogations quant à l'avenir démocratique du Mali. Les appels à un retour à un ordre constitutionnel rapide se multiplient, mais peinent à être entendus par les autorités en place.
Dans ce contexte, la société civile et les partis politiques de l'opposition se mobilisent pour faire pression en faveur d'une transition démocratique et d'un retour à l'État de droit.
Depuis le coup d'État de 2020 au Mali, la période de transition n'a cessé de s'allonger, au grand dam des démocrates du pays. Alors que les autorités militaires annoncent un énième report de l'élection présidentielle pour des raisons techniques, les inquiétudes grandissent quant à un possible retour à un régime autoritaire.
L'absence de calendrier clair pour l'organisation d'élections et les manœuvres visant à consolider le pouvoir des militaires soulèvent de nombreuses interrogations quant à l'avenir démocratique du Mali. Les appels à un retour à un ordre constitutionnel rapide se multiplient, mais peinent à être entendus par les autorités en place.
Dans ce contexte, la société civile et les partis politiques de l'opposition se mobilisent pour faire pression en faveur d'une transition démocratique et d'un retour à l'État de droit.
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