Dans un contexte de volatilité et d'attaques informationnelles, la présence militaire française en Afrique est en train de subir une réduction significative. Alors que plus de 6 000 soldats étaient déployés il y a deux ans, ce chiffre pourrait bientôt être réduit à la portion congrue. Selon les dernières informations, les troupes françaises au Sénégal, au Gabon, en Côte d'Ivoire et au Tchad verront leurs effectifs considérablement réduits.
Cette décision vise à réduire la visibilité et l'empreinte de l'armée française, qui est devenue, selon certains officiers, radioactive
Pour Jérôme Pigné, président du Réseau de réflexion stratégique sur la sécurité au Sahel, il s'agit d'un véritable changement de paradigme.
La présence militaire française en Afrique de l'Ouest et du Centre, qui compte actuellement 3 000 hommes, sera drastiquement réduite. Seul Djibouti semble pour le moment épargné par cette dynamique.
Dans un contexte de volatilité et d'attaques informationnelles, la présence militaire française en Afrique est en train de subir une réduction significative. Alors que plus de 6 000 soldats étaient déployés il y a deux ans, ce chiffre pourrait bientôt être réduit à la portion congrue. Selon les dernières informations, les troupes françaises au Sénégal, au Gabon, en Côte d'Ivoire et au Tchad verront leurs effectifs considérablement réduits.
Cette décision vise à réduire la visibilité et l'empreinte de l'armée française, qui est devenue, selon certains officiers, radioactive
Pour Jérôme Pigné, président du Réseau de réflexion stratégique sur la sécurité au Sahel, il s'agit d'un véritable changement de paradigme.
La présence militaire française en Afrique de l'Ouest et du Centre, qui compte actuellement 3 000 hommes, sera drastiquement réduite. Seul Djibouti semble pour le moment épargné par cette dynamique.
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