Le procès en appel de l'économiste Étienne Fakaba Sissoko, condamné en mai dernier à deux ans de prison dont un ferme pour avoir dénoncé la « propagande » du gouvernement malien, a débuté ce lundi à Bamako. Les proches et les avocats de Sissoko dénoncent une forme de persécution, soulignant les conditions précaires de sa détention et les accusations infondées portées à son encontre.
Etienne Fakaba Sissoko, ancien conseiller gouvernemental et de la Mission onusienne au Mali, avait publié un livre fin 2023 dans lequel il critiquait ouvertement le gouvernement de transition. Depuis son arrestation en mars dernier, il est maintenu en détention provisoire, malgré sa demande de comparution libre sous contrôle judiciaire.
La Cour d'appel doit aujourd'hui examiner l'appel sur le fond de la condamnation prononcée en première instance, mais aussi se prononcer sur la demande de libération provisoire de Sissoko. Les avocats de l'économiste dénoncent un climat de répression et une remise en cause de la liberté d'expression au Mali.
L'affaire Étienne Fakaba Sissoko soulève une fois de plus les inquiétudes quant au respect des droits de l'homme et des libertés fondamentales dans le pays. La communauté internationale et les défenseurs des droits humains appellent à la libération immédiate de l'économiste et à la fin des persécutions à son encontre.
Le procès en appel de l'économiste Étienne Fakaba Sissoko, condamné en mai dernier à deux ans de prison dont un ferme pour avoir dénoncé la « propagande » du gouvernement malien, a débuté ce lundi à Bamako. Les proches et les avocats de Sissoko dénoncent une forme de persécution, soulignant les conditions précaires de sa détention et les accusations infondées portées à son encontre.
Etienne Fakaba Sissoko, ancien conseiller gouvernemental et de la Mission onusienne au Mali, avait publié un livre fin 2023 dans lequel il critiquait ouvertement le gouvernement de transition. Depuis son arrestation en mars dernier, il est maintenu en détention provisoire, malgré sa demande de comparution libre sous contrôle judiciaire.
La Cour d'appel doit aujourd'hui examiner l'appel sur le fond de la condamnation prononcée en première instance, mais aussi se prononcer sur la demande de libération provisoire de Sissoko. Les avocats de l'économiste dénoncent un climat de répression et une remise en cause de la liberté d'expression au Mali.
L'affaire Étienne Fakaba Sissoko soulève une fois de plus les inquiétudes quant au respect des droits de l'homme et des libertés fondamentales dans le pays. La communauté internationale et les défenseurs des droits humains appellent à la libération immédiate de l'économiste et à la fin des persécutions à son encontre.
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