Dans un contexte politique tendu, les députés de La France insoumise (LFI) ont annoncé, ce samedi 31 août, leur intention de destituer le président Emmanuel Macron. Cette décision fait suite à son refus de nommer Lucie Castets, candidate du Nouveau Front populaire, à Matignon. Les LFI accusent le chef de l'État de ne pas respecter ses obligations démocratiques.
La proposition de destitution, fondée sur l'article 68 de la Constitution, est décrite par les députés LFI comme une nécessité pour défendre les valeurs démocratiques face à ce qu'ils qualifient de "tentation autoritaire" du président. Dans leur résolution, ils soulignent que les assemblées parlementaires, tant l'Assemblée nationale que le Sénat, ont la responsabilité de protéger la démocratie.
Mathilde Panot, cheffe de file des députés LFI, a précisé que cette proposition a été envoyée à tous les parlementaires pour qu'ils puissent la cosigner. Malgré cela, l'issue de cette démarche semble incertaine, car de nombreux élus de la gauche hésitent à soutenir une initiative qui pourrait s'avérer difficile à mettre en œuvre. La procédure de destitution est en effet longue et nécessite l'approbation des deux tiers des parlementaires réunis en Haute Cour, un objectif ambitieux dans le climat politique actuel.
Dans un contexte politique tendu, les députés de La France insoumise (LFI) ont annoncé, ce samedi 31 août, leur intention de destituer le président Emmanuel Macron. Cette décision fait suite à son refus de nommer Lucie Castets, candidate du Nouveau Front populaire, à Matignon. Les LFI accusent le chef de l'État de ne pas respecter ses obligations démocratiques.
La proposition de destitution, fondée sur l'article 68 de la Constitution, est décrite par les députés LFI comme une nécessité pour défendre les valeurs démocratiques face à ce qu'ils qualifient de "tentation autoritaire" du président. Dans leur résolution, ils soulignent que les assemblées parlementaires, tant l'Assemblée nationale que le Sénat, ont la responsabilité de protéger la démocratie.
Mathilde Panot, cheffe de file des députés LFI, a précisé que cette proposition a été envoyée à tous les parlementaires pour qu'ils puissent la cosigner. Malgré cela, l'issue de cette démarche semble incertaine, car de nombreux élus de la gauche hésitent à soutenir une initiative qui pourrait s'avérer difficile à mettre en œuvre. La procédure de destitution est en effet longue et nécessite l'approbation des deux tiers des parlementaires réunis en Haute Cour, un objectif ambitieux dans le climat politique actuel.
Politique & Société