La Cour Internationale de Justice (CIJ) a tenu une troisième série d'audiences vendredi concernant les mesures d'urgence demandées par l'Afrique du Sud concernant le conflit entre Israël et Gaza. L'Afrique du Sud a plaidé pour un arrêt des opérations militaires israéliennes à Gaza, qualifiant la situation dans l'enclave assiégée de "nouvelle et horrible". Les juges de la CIJ sont appelés à prendre en compte les graves conséquences humanitaires de ce conflit et à ordonner un cessez-le-feu pour protéger les civils. Israël a réfuté la demande de cessez-le-feu de l'Afrique du Sud devant la CIJ, déclarant que l'opération militaire n'avait pas pour but de causer des dommages aux civils, contrairement aux affirmations du Hamas. La délégation israélienne a également contesté les arguments présentés par les représentants sud-africains, les accusant de manquer d'engagement sur les faits.Les avocats sud-africains ont insisté sur la nécessité de mettre fin aux hostilités qui menacent la survie des Palestiniens de Gaza, soulignant que la CIJ avait déjà reconnu le risque imminent pour la population palestinienne dans cette région. La CIJ, ayant le pouvoir d'ordonner un cessez-le-feu et d'autres mesures, est au cœur de ce débat crucial sur le respect du droit international humanitaire. Les audiences se poursuivent dans un contexte où la situation humanitaire à Gaza continue de se détériorer, mettant en péril la vie de milliers de civils. La communauté internationale attend avec impatience les décisions de la CIJ, dans l'espoir de trouver une solution pacifique à ce conflit dévastateur qui a déjà fait de nombreuses victimes parmi la population civile de Gaza
La Cour Internationale de Justice (CIJ) a tenu une troisième série d'audiences vendredi concernant les mesures d'urgence demandées par l'Afrique du Sud concernant le conflit entre Israël et Gaza. L'Afrique du Sud a plaidé pour un arrêt des opérations militaires israéliennes à Gaza, qualifiant la situation dans l'enclave assiégée de "nouvelle et horrible". Les juges de la CIJ sont appelés à prendre en compte les graves conséquences humanitaires de ce conflit et à ordonner un cessez-le-feu pour protéger les civils. Israël a réfuté la demande de cessez-le-feu de l'Afrique du Sud devant la CIJ, déclarant que l'opération militaire n'avait pas pour but de causer des dommages aux civils, contrairement aux affirmations du Hamas. La délégation israélienne a également contesté les arguments présentés par les représentants sud-africains, les accusant de manquer d'engagement sur les faits.Les avocats sud-africains ont insisté sur la nécessité de mettre fin aux hostilités qui menacent la survie des Palestiniens de Gaza, soulignant que la CIJ avait déjà reconnu le risque imminent pour la population palestinienne dans cette région. La CIJ, ayant le pouvoir d'ordonner un cessez-le-feu et d'autres mesures, est au cœur de ce débat crucial sur le respect du droit international humanitaire. Les audiences se poursuivent dans un contexte où la situation humanitaire à Gaza continue de se détériorer, mettant en péril la vie de milliers de civils. La communauté internationale attend avec impatience les décisions de la CIJ, dans l'espoir de trouver une solution pacifique à ce conflit dévastateur qui a déjà fait de nombreuses victimes parmi la population civile de Gaza
Politique & Société