"Harcèlement par le biais d'un système électronique". Rémi Gnambakpo, activiste sur les réseaux sociaux, était retourné devant le juge de la Criet, lundi 6 mai 2024 pour cette accusation. Il était en compagnie d' un présumé journaliste, Boniface Akponou, soupçonné d'avoir écrit un papier incendiaire sur Joseph Djogbenou. Le juge a renvoyé le dossier au 13 mai prochain. D'une part, pour permettre à Boniface Akponou d' organiser sa défense, et pour permettre à Joseph Djogbenou,le plaignant, de faire les formalités nécessaires pour se faire représenter d' autre part. C'est la défense de Rémy Gnambakpo qui a soulevé ce point lors de l'audience quia, à peine, duré 5 minutes. Il était reproché aux avocats du plaignant, de n' avoir pas effectuer les formalités nécessaires pour représenter un client inscrit auprès du barreau. Il faudra donc attendre le lundi 13 mai prochain pour connaître de l' évolution du dossier. Il est reproché aux deux prévenus, l' un d' avoir allègrement commenté la une d' un journal fantôme, et d'y avoir indexé le président de l'Upr , alors que le second s' est autorisé à usurper un titre de directeur d' un journal pour publier de fausses nouvelles.
"Harcèlement par le biais d'un système électronique". Rémi Gnambakpo, activiste sur les réseaux sociaux, était retourné devant le juge de la Criet, lundi 6 mai 2024 pour cette accusation. Il était en compagnie d' un présumé journaliste, Boniface Akponou, soupçonné d'avoir écrit un papier incendiaire sur Joseph Djogbenou. Le juge a renvoyé le dossier au 13 mai prochain. D'une part, pour permettre à Boniface Akponou d' organiser sa défense, et pour permettre à Joseph Djogbenou,le plaignant, de faire les formalités nécessaires pour se faire représenter d' autre part. C'est la défense de Rémy Gnambakpo qui a soulevé ce point lors de l'audience quia, à peine, duré 5 minutes. Il était reproché aux avocats du plaignant, de n' avoir pas effectuer les formalités nécessaires pour représenter un client inscrit auprès du barreau. Il faudra donc attendre le lundi 13 mai prochain pour connaître de l' évolution du dossier. Il est reproché aux deux prévenus, l' un d' avoir allègrement commenté la une d' un journal fantôme, et d'y avoir indexé le président de l'Upr , alors que le second s' est autorisé à usurper un titre de directeur d' un journal pour publier de fausses nouvelles.
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