Dans la soirée du 31 juillet 2024, la résidence de l'ex-président de la RDC, Joseph Kabila, a été le théâtre d'une attaque violente. Sous les accusations de persécution, l'épouse de l'ancien chef de l’État, Olive Lembe Kabila, a dénoncé une tentative d'assassinat orchestrée par des jeunes affiliés à l'UDPS, parti de l'actuel président, Félix Tshisekedi.
Arborant des t-shirts à l'effigie de Félix Tshisekedi, ces jeunes auraient tenté de pénétrer de force dans la concession de la famille Kabila, armés de cocktails molotov. Des affrontements violents ont eu lieu avec les forces de sécurité, causant des blessures parmi les gardes privés de l'épouse de Joseph Kabila.
Alors que les proches de l'ex-président crient à la persécution et à la tentative d'élimination physique, les autorités évoquent un conflit foncier qui aurait dégénéré. Selon elles, les jeunes auraient été mobilisés pour forcer le déguerpissement d'une des parties en conflit à proximité de la résidence de Kabila, avant de se diriger vers celle-ci.
Une enquête a été ouverte pour faire la lumière sur ces événements et déterminer les responsabilités de chacun. En attendant, la tension reste palpable à Kinshasa, où les rivalités politiques continuent de diviser la population.
Dans la soirée du 31 juillet 2024, la résidence de l'ex-président de la RDC, Joseph Kabila, a été le théâtre d'une attaque violente. Sous les accusations de persécution, l'épouse de l'ancien chef de l’État, Olive Lembe Kabila, a dénoncé une tentative d'assassinat orchestrée par des jeunes affiliés à l'UDPS, parti de l'actuel président, Félix Tshisekedi.
Arborant des t-shirts à l'effigie de Félix Tshisekedi, ces jeunes auraient tenté de pénétrer de force dans la concession de la famille Kabila, armés de cocktails molotov. Des affrontements violents ont eu lieu avec les forces de sécurité, causant des blessures parmi les gardes privés de l'épouse de Joseph Kabila.
Alors que les proches de l'ex-président crient à la persécution et à la tentative d'élimination physique, les autorités évoquent un conflit foncier qui aurait dégénéré. Selon elles, les jeunes auraient été mobilisés pour forcer le déguerpissement d'une des parties en conflit à proximité de la résidence de Kabila, avant de se diriger vers celle-ci.
Une enquête a été ouverte pour faire la lumière sur ces événements et déterminer les responsabilités de chacun. En attendant, la tension reste palpable à Kinshasa, où les rivalités politiques continuent de diviser la population.
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