Dans une escalade alarmante des hostilités, le Liban a été le théâtre de la cinquième vague de raids aériens israéliens dans la nuit de lundi à mardi, provoquant des destructions massives et des pertes humaines tragiques. Les frappes, ciblant principalement des positions du Hezbollah, ont fait au moins 492 morts, dont 35 enfants, selon des sources officielles libanaises.
Cette journée de violence est désormais considérée comme la plus meurtrière au Liban depuis près d'un an d'affrontements sporadiques entre le Hezbollah et les forces israéliennes.
Les autorités libanaises décrivent la situation comme catastrophique, avec plus de 1 500 blessés enregistrés lors de cette seule journée. Ce bilan tragique rappelle les temps les plus sombres du pays, notamment la guerre de 2006, lorsque les hostilités entre le Hezbollah et Israël avaient causé d'innombrables souffrances civiles.
Face à cette escalade, la communauté internationale réagit. La France a appelé à une réunion d'urgence du Conseil de sécurité de l'ONU, soulignant la nécessité d'une intervention rapide pour apaiser les tensions. Le ministre français des Affaires étrangères a exprimé sa préoccupation face à la détérioration de la situation et à l'impact humanitaire croissant sur la population libanaise.
Les habitants du Liban, déjà éprouvés par des crises économiques et politiques, se retrouvent dans une spirale de violence qui menace de plonger le pays dans un cycle de destruction encore plus profond. Les organisations humanitaires s'inquiètent de l'accès limité aux soins médicaux et aux ressources essentielles, alors que les infrastructures sont ciblées par les frappes israéliennes.
Dans une escalade alarmante des hostilités, le Liban a été le théâtre de la cinquième vague de raids aériens israéliens dans la nuit de lundi à mardi, provoquant des destructions massives et des pertes humaines tragiques. Les frappes, ciblant principalement des positions du Hezbollah, ont fait au moins 492 morts, dont 35 enfants, selon des sources officielles libanaises.
Cette journée de violence est désormais considérée comme la plus meurtrière au Liban depuis près d'un an d'affrontements sporadiques entre le Hezbollah et les forces israéliennes.
Les autorités libanaises décrivent la situation comme catastrophique, avec plus de 1 500 blessés enregistrés lors de cette seule journée. Ce bilan tragique rappelle les temps les plus sombres du pays, notamment la guerre de 2006, lorsque les hostilités entre le Hezbollah et Israël avaient causé d'innombrables souffrances civiles.
Face à cette escalade, la communauté internationale réagit. La France a appelé à une réunion d'urgence du Conseil de sécurité de l'ONU, soulignant la nécessité d'une intervention rapide pour apaiser les tensions. Le ministre français des Affaires étrangères a exprimé sa préoccupation face à la détérioration de la situation et à l'impact humanitaire croissant sur la population libanaise.
Les habitants du Liban, déjà éprouvés par des crises économiques et politiques, se retrouvent dans une spirale de violence qui menace de plonger le pays dans un cycle de destruction encore plus profond. Les organisations humanitaires s'inquiètent de l'accès limité aux soins médicaux et aux ressources essentielles, alors que les infrastructures sont ciblées par les frappes israéliennes.
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